Icône

Aidez-nous à poursuivre notre travail de recherche indépendant

Devenez membre

La privatisation de l’Alberta Liquor Control Board

2 octobre 2003


Le 2 septembre 1993, le ministre responsable de l’Alberta Liquor Control Board (ALCB)
annonçait la privatisation de la vente au détail des produits de l’alcool. Au cours des
années qui ont suivi, le gouvernement albertain a liquidé l’ensemble de ses magasins de
vente d’alcool et a confié la gestion de son entrepôt à une firme privée.
L’analyse des impacts de la privatisation de l’Alberta Liquor Control Board (ALCB) nous
démontre clairement que le gouvernement de Ralph Klein n’a pas atteint les objectifs
qu’il s’était fixés lors de l’élaboration de leur politique visant à privatiser la vente au détail
des produits de l’alcool dans cette province. L’étude des données et des faits cumulés
au cours de la période de près de dix ans qui a suivi cette privatisation nous démontre
plutôt un échec presque complet des attentes qu’avait formulées le gouvernement en
1993. Que ce soit au niveau de la sélection disponible en magasin, des prix ou des
conditions de travail, les faits démontrent que le secteur privé n’a pas réussi là où le
gouvernement albertain réussissait très bien.
Le 2 septembre 1993, le ministre responsable de l’Alberta Liquor Control Board (ALCB)
annonçait la privatisation de la vente au détail des produits de l’alcool. Au cours des
années qui ont suivi, le gouvernement albertain a liquidé l’ensemble de ses magasins de
vente d’alcool et a confié la gestion de son entrepôt à une firme privée.
L’analyse des impacts de la privatisation de l’Alberta Liquor Control Board (ALCB) nous
démontre clairement que le gouvernement de Ralph Klein n’a pas atteint les objectifs
qu’il s’était fixés lors de l’élaboration de leur politique visant à privatiser la vente au détail
des produits de l’alcool dans cette province. L’étude des données et des faits cumulés
au cours de la période de près de dix ans qui a suivi cette privatisation nous démontre
plutôt un échec presque complet des attentes qu’avait formulées le gouvernement en
1993. Que ce soit au niveau de la sélection disponible en magasin, des prix ou des
conditions de travail, les faits démontrent que le secteur privé n’a pas réussi là où le
gouvernement albertain réussissait très bien.

Téléchargement(s)

Publication complète


Partager